À l’abris des regards
Il y avait un passage au beau milieu de la forêt. Ce lieu était semblable à la tanière d’un loup. […]
Il y avait un passage au beau milieu de la forêt. Ce lieu était semblable à la tanière d’un loup. […]
L’arbre n’avait pas de valeur en lui-même. Seul l’attention qu’il pouvait lui offrir le rendait riche d’être à ses côtés.
À la limite de tout résonne l’entièreté de la création. Un endroit où la chose, le lieux, l’état cesse d’être